Suivre un traitement d'hormonothérapie n'est pas anodin, de nombreux effets secondaires peuvent se faire ressentir.

Dans cette conférence riche en informations, l'association Seintinelles et le Professeur Marès discutent des effets d'un tel traitement sur les sphères gynécologique, urinaire et sexuelle.

« Fragments de campagne ». Le rapport au corps, au plaisir et à l’amour est devenu une question centrale chez les jeunes femmes d’aujourd’hui, qui le repensent sous un prisme résolument politique.

Lors d’un rendez-vous pour vous faire vacciner, vous serez certainement averti.e des effets secondaires possibles. Seulement, un effet secondaire risque d’être oublié. Vos règles et votre cycle menstruel pourraient être perturbés après l’injection du vaccin contre le Covid-19.

Un grand nombre de personnes pensent que la ménopause sera également source d’une diminution, voire d’un arrêt, de la fonction sexuelle.

Ce n’est pas le cas, et les études montrent que la sexualité des femmes ménopausées reste le plus souvent stable, voire améliorée, et peut même devenir un élément important de la qualité de vie.

Vous pensiez que la sexualité était un long fleuve tranquille ? Qu’une fois trouvé l’amant idéal tout roule ? Désolée de vous l’apprendre mais les femmes interrogées ici nous le confirme : le désir ça va, ça vient. C’est normal ! Jusqu’à ce qu’on lise le DSM qui appelle ça le «trouble du désir féminin». Il concernerait des femmes qui n’ont pas assez envie de sexe. Quoi?!

Pour les victimes de violences sexistes et sexuelles qui osent se lancer dans une procédure disciplinaire contre leurs agresseurs, le parcours est souvent long et traumatisant.

[TRIBUNE] Certaines modalités de jouissance semblent être en train de changer.

Respirez ! Aussitôt notre esprit pense : poumons, nez, gorge... Mais saviez-vous que le périnée respire aussi ? C'est notre troisième diaphragme, ses mouvements naturels suivent chacun de nos souffles... Mais, parfois, il arrive qu'il soit complètement bloqué et la sexualité en souffre !

Le Professeur Pierre Marès, gynécologue obstétricien au CHU de Nîmes, travaille depuis plusieurs années avec son équipe sur l’application de méthodes thérapeutiques permettant de diminuer, voire de mettre fin, aux douleurs pelviennes dont souffrent de nombreuses femmes et cela quel que soit leur âge ou leur pathologie.